samedi 30 juillet 2011

Souvenirs de bord de mer et petit bricolage

On fait honneur à notre voyage dans en Charente Maritime en créant un joli mobile avec un morceau de bois trouvé sur le rivage, des coquillages, des pierres et des morceaux de verre poli ramassés lors de nos promenades.

Advertisment
Fournitures
  • Fil en métal galvanisé
  • Fil en acier inoxydable et nylon de 0,12 mm
  • Perles pour bijoux 
  • Boutons décoratifs

Réalisation


1. À l'aide d'une perceuse, percer un trou au sommet de chaque coquillage.

2. Avec le fil en métal galvanisé, créer une petite spirale et y fixer une pierre ou un morceau de verre poli à l'aide d'un peu de colle chaude. Patienter quelques secondes, le temps que la colle fige, puis entourer le fil autour de la pierre ou du morceau de verre. Replier l'extrémité du fil afin de créer un anneau qui servira à accrocher notre création au fil d'acier inoxydable et de nylon. Couper le fil.

3. Sur un fil en acier inoxydable et nylon d'environ 60 cm, enfiler des coquillages, des pierres, des morceaux de verre poli, des perles et des boutons nacrés en faisant des nœuds après chaque ajout.

4. Entourer l'extrémité des fils autour d'un morceau de bois et les fixer avec un point de colle chaude.

5. Suspendre le mobile à l'aide de deux longueurs de fil en acier inoxydable et nylon attachées à chaque extrémité du morceau de bois et nouées ensemble au centre.

vendredi 29 juillet 2011

La FIDI* dénonce les pressions exercées sur les diagnostiqueurs pour améliorer l’étiquette énergétique des logements

* Fédération Interprofessionnelle du Diagnostic Immobilier
    Depuis le 1er janvier 2011, les pouvoirs publics ont           modifié les critères d’octroi au prêt à taux zéro (PTZ +)                afin d’accompagner les ménages à accéder à la propriété. Désormais pour prétendre bénéficier de cette aide, les particuliers doivent justifier auprès de leur organisme bancaire que la performance énergétique du logement qu’ils ont l’intention d’acquérir, et pour lequel il sollicite le prêt à taux zéro, soit classée dans les quatre premières catégories (A, B, C ou D) d’une échelle énergétique qui en comprend sept. Or, le classement en catégorie « E » diminue le prêt sollicité de 50 % par rapport au classement en catégorie « D ».
La Fédération Interprofessionnelle du Diagnostic Immobilier (FID
I) rappelle que le classement de la performance énergétique des immeubles est obtenu après la réalisation du Diagnostic de Performance Energétique du bien par un professionnel dont la compétence pour ce diagnostic est certifiée par un organisme accrédité par le COFRAC (comité français d’accréditation et de certification).
Elle constate que la mise en oeuvre de ces nouveaux critères d’accessibilité au Prêt à Taux Zéro, qui s’est juxtaposée avec l’obligation de mentionner sur les petites annonces immobilières le classement du bien mis en vente ou à la location, au regard de sa performance énergétique, crée une véritable pression de certains propriétaires vendeurs ou leur mandataire sur les diagnostiqueurs immobiliers afin que le bien réponde aux critères de performance énergétique exigés pour l’octroi du PTZ.
La Fédération Interprofessionnelle du diagnostic Immobilier dénonce ces tentatives qui ont pour objectif d’apporter des informations fausses aux futurs acquéreurs.
Elle rappelle que, si le DPE n’est pas opposable, il demeure que la responsabilité du propriétaire (et celle du diagnostiqueur) qui sciemment aurait apporté des fausses informations pour améliorer la performance énergétique du logement peut être engagée
Elle invite donc les professionnels du diagnostic immobilier, subissant ce type de pression, à noter systématiquement les informations apportées par le propriétaire ou son mandataire sur les caractéristiques du bien, non vérifiables par le professionnel du diagnostic immobilier, et les mentionner explicitement sur le rapport en indiquant
« informations portées à la connaissance de l’opérateur en diagnostic immobilier par le propriétaire ou son mandataire»
La FIDI rappelle que l’acquéreur d’un logement, dont la performance énergétique est classée en catégories E, F ou G peut bénéficier de l’éco PTZ qui lui permettra de réaliser les travaux d’amélioration énergétique et ainsi valoriser son bien tout en réduisant sa consommation énergétique.
La FIDI qui doit rencontrer le cabinet de Monsieur Benoist APPARU dans les prochains jours pour présenter ses propositions d’amélioration du DPE mettra ce sujet à l’ordre du jour de ce rendez vous.

Contact : Bruno DUMONT SAINT PRIEST - Délégué Général – 06 17 32 45

jeudi 28 juillet 2011

Le plan bâtiment Grenelle imagine un DPE
     adapté à la RT 2012 - 26 juillet 2011
 
Les propositions d'un groupe de travail du plan bâtiment Grenelle co-piloté par Jacqueline Faisant, présidente de BNP Paribas REIM, et Yves Dieulesaint, directeur développement durable, innovation et performance durables de Gecina, visant à améliorer la lisibilité des « signes de qualité » entre les acteurs de la construction, ont été communiquées lundi 25 juillet au gouvernement. Le rapport suggère notamment quelques mesures en vue de la « remise en ordre » du DPE et de son intégration dans le contexte de la RT 2012.
 
 
 
Un DPE qui « est certainement un des indicateurs de performance du bâtiment le plus connu. Il a contribué à diffuser auprès public l’échelle de performances qui est celle de l’étiquette énergie » indique le rapport. « En même temps, depuis sa création et ses extensions successives, l’usage du DPE a toujours été en avance sur sa fiabilité. Il suscite aussi un certain nombre d’incompréhensions dans l’esprit du public du fait de l’écart de ses résultats par rapport à ceux de la réglementation du neuf et des labels énergétiques ».
 
 
La RT 2012 prévoit une attestation finale de prise en compte de la réglementation pour chaque ouvrage. Le groupe préconise de faire converger cette attestation avec le DPE afin qu'une seule et même personne intervienne. « Des modes de preuve différents seraient peut-être à définir ».

Le groupe de travail estime également qu'il faut rendre obligatoire la visite pour les DPE réalisés sur l'existant dans l'arrêté, comme cela est prévu dans le neuf. Il faut ensuite conserver une seule méthode de calcul, en simplifiant les données d'entrées. « Attention à la méthode fondée sur les factures lorsqu'une partie du bâtiment n'est pas occupée », note le groupe, qui préconise également une distinction entre kWh énergie finale, kWh énergie primaire et kWh compteur, car « il est relevé beaucoup d'incompréhensions sur ce point''.

Le groupe de travail va jusqu’à envisager un DPE attesté ou certifié « avec pour objectif de tirer ce signe vers le haut ».

Concernant le neuf, il faudrait revoir le titre “recommandations d'amélioration énergétique“ qui n'a pas lieu d'être sur de nouveaux bâtiments, considère le groupe de travail. « On pourrait éventuellement limiter ces recommandations aux nouvelles technologies et énergies renouvelables ».

Quant aux immeubles collectifs, le groupe rappelle que des audits énergétiques vont être demandés, à compter du 1erjanvier 2012, pour les grandes copropriétés. Ces immeubles seront alors exemptés de DPE. Le groupe préconise plutôt de fournir un DPE issu directement de cet audit, réalisé par les bureaux d'études thermiques.

 En ce qui concerne les diagnostiqueurs, le rapport propose d’adapter leurs formations« en fonction des secteurs (MI, LC, Tertiaire) et de la complexité des bâtiments » et de bien y identifier les liens entre kWh EF, EP et kWh compteur, « car il est relevé beaucoup d’incompréhension sur ce point ».


Enfin, le groupe de travail souhaite la mise en place de contrôles par échantillonnage et de sanctions éventuelles pour les diagnostiqueurs.

mardi 26 juillet 2011

L’Institut de veille sanitaire alerte sur la  

 recrudescence de la légionnellose.


En 2010 l’incidence de la maladie marque une augmentation de 28% du nombre de cas par rapport à 2009, alors que depuis 2005, une diminution régulière s’était amorcée, de -21% de 2005 à 2009. L’augmentation a été plus importante pendant les mois d’août et septembre et dans les régions Est de la France.


La légionnellose touche des personnes âgées en moyenne de 62 ans, plus les hommes que les femmes et son taux de mortalité s’élève à 11,7% mais peut atteindre 40% chez des malades hospitalisés ou immunodéprimés. Cette infection est responsable de 0,5 à 5 % des pneumonies communautaires nécessitant une hospitalisation et 9% des cas de légionellose déclarés sont d’origine nosocomiale. Les légionelles vivent en eau douce et colonisent les eaux dont la température est comprise entre 25 et 42°C.
 
Une souche a été isolée chez 18% des cas et une exposition à risque était rapportée pour 34% d’entre eux. Aucune épidémie n’a été identifiée en 2010 montrant que des investigations rapides et systématiques ont probablement limité le nombre de cas groupés.

L’Institut de veille sanitaire, face à la recrudescence de ces infections, conseille donc de lancer de nouvelles recherches et de définir de nouvelles stratégies de prévention et de contrôle des installations identifiées comme à risque.
Source :
InVS-BEH n° 29-30
Bienvenue sur le blog ADEB, j'espère vous apporter tout l'intérêt que vous souhaitez, aussi n'hésitez pas à suggérer des sujets qui vous intéressent, à poser des questions, sur les diagnostics immobiliers, ou le bâtiment en général, des trucs ou des astuces du quotidien, questions techniques, pratiques ou juridiques. Nous pouvons aussi échanger nos points de vue et nos expériences, quelles soient entre particuliers ou entre professionnels.

 ENSEMBLE PARTAGEONS NOTRE SAVOIR FAIRE
Vous vendez votre bien immobilier ? Vous louez ? Le diagnostic immobilier est obligatoire ! Lors de toute transaction immobilière, que ce soit une vente ou une location, le vendeur ou le bailleur se doit de remettre un dossier technique complet reflétant l'état du bien ainsi que sa conformité aux normes : le diagnostic technique immobilier.