Le diagnostic radon

deviendra t'il obligatoire ?                   

 

Les conséquences de la présence de radon dans l'habitat sont sous enquête. La CLCV a demandé une étude indépendante à Concarneau. 20% des cancers du poumons diagnostiqués dans lé région seraient dus au radon.

1- Le gaz radon, dangereux inconnu

Le chiffre est renversant. 20% des cancers du poumon seraient imputables à la présence du gaz radon . Il est plus que temps d'informer et d'agir sur le radon.
Le radon est un gaz radioactif d’origine naturelle. Il est issu de la désintégration de l’uranium et du radium présents dans la croûte terrestre et provient surtout des sous-sols granitiques .Lorsque le radon se concentre dans les habitations, les risques pour la santé deviennent élevés.
Le radon rentre dans l'habitation par le sol. Il peut pénétrer par les tuyaux mal isolés ou abimés et par tout endroit ou l'étanchéité est insuffisante (entre les dalles par exemple). Soluble dans l'eau, le radon peut se retrouver dans toute eau stagnante.

2 - L'étude radon de la clcv en Bretagne

La CLCV (Consommation logement et cadre de vie) vient de signer une convention avec l'Inra pour analyser la présence de radon dans l'habitat. L'étude sera réaliséee à Concarneau et dans le 4c (Communauté de communes Concarneau Cornouailles) . Le finistère est comme vous pouvez le voir sur l'illustration ci-dessus, l'un des 13 départements classés à risque.
Dès Janvier 2012, la CLCV distribuera 5000 dosimètres. Les volontaires devront placer le dosimètre servant à mesurer le radon dans leur habitation et le laisser ouvert pendant 2 mois . Le dosimètre sera ensuite envoyé en laboratoire pour analyse. l'étude sur le radon devrait durer entre 2 et 3 ans. A l'issue de l'étude, des recommandations seront faites aux participants

3 - Le diagnostic radon

Le diagnostic radon existe déjà mais n'est pas obligatoire . Vu les effets à long terme du gaz radon, c'est extrèmement problématique. Le diagnostic radon devrait devenir obligatoire sur le modèle du diagnostic termites. Le problème est que le dosimètre doit rester 3 mois en place pour que le diagnostic soit fiable. Il ne peut donc pas devenir un simple diagnostic avant-vente et définir une période de validité risque d'être compliqué.
Autre problème, le ciblage des bâtiments est impossible, le radon peut être présent dans une maison mais absent dans celle d'a coté. Une simple fissure dans la dalle ou un vide sanitaire peut faite la différence...

Dans une région à risque, je conseillerais fortement de faire réaliser le diagnostic radon, parlez-en à votre diagnostiqueur immobilier !

Artisan

Les qualifications

Titre artisan :

le titre d'artisan est attribué à toute personne physique enregistrée à une chambre des métiers, possédant un certificat d'aptitude professionnelle (CAP) ou un diplôme de niveau V ou supérieur au niveau V ou au bout de 6 années d'immatriculation à la chambre des métiers.

Titre Maître artisan :

Le titre de maître artisan est attribué à toute personne physique enregistrée à une chambre des métiers, possédant un brevet de maîtrise et ayant une pratique professionnelle d'au moins 2 ans (même salarié).

Seules les entreprises correspondant à ces critères, peuvent bénéficier de l'appellation "ARTISAN" ou "Maître ARTISAN", et arborer ainsi les logos ci-dessus.

Qu’est-ce que ECO artisan ?

ECO artisan® est une marque de qualité délivrée aux artisans du bâtiment qui s’engagent dans la course pour l’amélioration des performances énergétiques des logements. Elle accompagne la nécessaire évolution des connaissances et des compétences techniques de nos artisans en matière d’éco-construction/rénovation

Quels sont les engagements des professionnels référencés ECO artisan ?

Pour obtenir le précieux référentiel, les artisans doivent, au travers d’une démarche tout à fait volontaire, parfaire leurs « éco compétences » et s’engager sur 3 axes :

1. Effectuer systématiquement une évaluation thermique du logement de leurs clients
2. Conseiller à leurs clients des techniques cohérentes améliorant l’efficacité énergétique de leur logement
3. Proposer des solutions adaptées et efficaces dans leur corps de métier (nouveaux matériaux, utilisation des énergies renouvelables…) et vérifier la qualité des travaux contractés tout au long du chantier et jusqu’à son achèvement.

Cet ensemble d’ engagements est validé par le label Qualibat qui délivre la marque pour une durée maximum de trois ans. Afin de garantir au maximum la crédibilité et le sérieux de la marque, un audit est réalisé dans les trois ans par Qualibat. Il sert à veiller au respect des engagements pris par l’entreprise.

Comment les artisans obtiennent-ils le précieux sceau ?

Ils doivent répondre à un QCM (questionnaire à choix multiples) portant sur des questions de culture G ( en lien avec leur métier), des questions techniques et des questions sur les pratiques de l’ entreprise.

Installer une bonne prise de terre

Elle réduit les risques d’électrocution et permet de neutraliser les champs électriques. Les conseils d’un spécialiste pour disposer d’une bonne prise de terre.

La prise de terre est un élément essentiel de l'installation électrique.

• Elle assure tout d'abord une fonction de sécurité par rapport aux risques d'électrocution en cas de défaut d'isolement. Pour que la prise de terre remplisse bien cette fonction, les carcasses métalliques des appareils électriques doivent être connectés à la terre (sauf s'ils sont de classe II, c'est-à-dire à double isolement).
• Elle permet également de neutraliser les champs électriques que peuvent rayonner les structures en métal du bâtiment, les carcasses des appareils et machines électriques voire de certains luminaires. Une pollution méconnue mais bien réelle notamment avec les appareils auprès desquels on passe beaucoup de temps comme les ordinateurs.

Sur des installations électriques anciennes, il arrive que la prise de terre soit inexistante. Il est primordial d'y remédier.
Les critères essentiels de la réalisation d'une bonne prise de terre sont une résistance suffisamment faible et un emplacement sans perturbations électriques.

Quelle résistance ?

Selon la norme NF C15-100, la résistance (voir encadré) de la prise de terre doit être au plus égale à 100 ohms. Ces normes sont établies pour assurer la sécurité par rapport aux risques d'électrocution. Mais pour neutraliser les champs électriques et les tensions parasites, quelle doit être cette résistance ? Elle doit être suffisamment faible pour limiter la tension électrique sur les carcasses métalliques des machines et appareils électriques et sur l'ensemble des structures métalliques qui sont reliées à la prise de terre.
Avec des installations récentes protégées par un interrupteur ou disjoncteur différentiel haute sensibilité de 30 mA (obligatoire depuis 1992 sur les installations neuves ou modifiées), une résistance de 50 ohms peut être considérée comme la limite maximale acceptable.
Mais certaines installations anciennes sont encore protégées par des dispositifs différentiels de 300 mA. Dans ce cas, la résistance de la prise de terre ne devra pas dépasser 5 ohms.
Il sera souvent plus facile d'installer une protection différentielle haute sensibilité que de refaire la prise de terre. De plus, un dispositif différentiel de 30 mA mettra l'installation en conformité avec les normes actuelles.

Bien choisir l'emplacement

Selon le type de sol
La résistance de la prise de terre dépend :

• De la surface de contact entre le métal et la terre. On peut jouer sur la longueur de câble ou le nombre de piquets pour diminuer la résistance.
• De la nature et de l'humidité du sol. Dans un sol rocheux ou sablonneux, la résistance est élevée. Par contre, dans une bonne terre végétale ou de l'argile, elle est relativement faible. Pour rendre la terre plus conductrice, on peut rapporter de la terre végétale. On peut aussi ajouter à la terre du charbon en poussière et même de la limaille métallique.

La prise de terre doit être enfouie à une profondeur d'environ un mètre pour être efficace par tous les temps, aussi bien lorsqu'il gèle que par temps sec. Un piquet de terre enfoncé à une profondeur de plusieurs mètres permet parfois d'atteindre des couches géologiques de plus faible résistance.

Prise de terre sans prise de tête

Il faut faire appel à un électricien pour tester votre prise de terre. La mesure nécessite des appareils spécialisés et un certain savoir-faire (un ohm-mètre de boucle à mesure directe ou plusieurs mesures avec un contrôleur de terre et deux piquets auxiliaires).
Pour une nouvelle construction, la meilleure solution est de réaliser un ceinturage à fond de fouille par un câble en cuivre nu de 25 mm² de section (relié au tableau électrique, voir schéma).
Pour une habitation existante, on aura le choix entre :

• Un câble en cuivre nu de section 25 mm² enterré dans une tranchée à une profondeur d'un mètre. La longueur du câble dépendra de la résistance du sol (prévoir environ 15 mètres).
• Des piquets en acier galvanisé, enfoncés à 1,5 ou 2 mètres de profondeur et reliés entre eux par un câble de cuivre nu de 25 mm² de section, enterré entre 80 cm et 1 m.
• Il existe aussi des piquets de cuivre, nettement plus chers. On peut également enterrer un ou plusieurs tambours de machine à laver de récupération, toujours reliés par le fil de cuivre.

La connexion entre un piquet en acier galvanisé (ou un tambour) et un câble en cuivre doit être accessible pour vérification. Il est recommandé dans ce cas d'installer un regard, qui permet un accès à la connexion. Une liaison par brasure (soudure) évite cette contrainte.
La prise de terre ne doit pas être réalisée dans un endroit où il y a des risques de corrosion (terrains acides, présence de purin...).
Il faudra éviter de l'implanter en un lieu où il y a des perturbations électriques dues à une prise de terre d'un transformateur, d'une ligne électrique, d'un relais de téléphonie mobile, d'un poste de clôture électrique, d'une ligne de chemin de fer électrifiée ou d'une installation électrique importante.

Claude Bossard

Notions

La résistance caractérise l'opposition au passage du courant. Plus la valeur de la résistance est faible, et plus le courant passe. La résistance de la prise de terre doit être suffisamment faible pour assurer une bonne liaison à la terre. Pour être fiable, la mesure doit être faite avec un ohm-mètre spécifique par un électricien.La conductivité est l'inverse de la résistance.
L'unité de mesure de la résistance est l'ohm (symbole oméga W).

L’iPhone et la domotique :

une combinaison parfaite

grâce à LiftMaster

Au-delà de toutes ses fonctionnalités, un iPhone peut également servir dans bien des tâches de la vie courante, cela grâce à la domotique. D’ailleurs, le slogan était parfaitement clair : « il y a des applications pour tout », ce qui inclut actuellement l’ouverture d’un garage et l’extinction ou l’allumage d’une prise à distance, notamment grâce à LiftMaster.
LiftMaster est une entreprise américaine spécialisée dans les mécanismes d’ouverture et fermeture de portes de garage. Celle-ci vient de présenter son tout nouveau produit au cours du CES : grâce au LiftMaster Internet Gateway, le mécanisme est relié à l’internet et à une application iPhone. Cela permet notamment à un utilisateur d’ouvrir ou de fermer la porte du garage à partir de l’iPhone, cela sans quitter son véhicule et sans avoir besoin d’une télécommande spécialement dédiée. Mais cela lui permettra également à tout moment de vérifier si la porte du garage est bien fermée.

Voilà donc une grande innovation qui ne devrait laisser personne indifférent. Cela étant dit, ce confort a aussi un prix assez fort (pour l’instant, espérons) : pour le matériel, comptez entre 350 et 500 dollars, auxquels il faudra aussi penser à ajouter un abonnement de 15 dollars par an pour le service. Néanmoins, il se trouve que l’application dénommée LiftMaster® Home Control est quant à elle gratuite. A noter que le contrôle des lumières du garage à distance est aussi compris dans l’application, outre donc l’ouverture et la fermeture des portes.
Dans le rayon des dernières technologies de la domotique, l’on retrouve aussi (aux Etats-Unis) le Smart Cord commercialisé par ZSmart : il s’agit d’un câble électrique muni d’une puce Bluetooth permettant d’allumer ou d’éteindre tout ce qui est relié au câble. Malheureusement, ce système n’est pas encore adapté aux réseaux électriques français. L’avenir de la domotique s’annonce aussi intéressant, avec l’arrivée prochaine (dans le courant de l’année) de nombreux nouveaux produits, tels qu’un interrupteur Bluetooth, etc.

Puits canadien

La ventilation est la solution la plus efficace pour lutter contre l'humidité engendrée par lacondensation à l'intérieur de votre habitation, notamment dans les pièces humides : cuisine, salle de bain, toilettes, buanderie. Créez des courants d'air dans votre maison !
Elle peut au besoin être complétée par un absorbeur d'humidité.
Il existe 5 types de ventilation :

• Ventilation naturelle : facile à poser , mais efficacité variable.
• Ventilation mécanique contrôlée (VMC simple flux ou VMC double flux) : très efficace.
• Ventilation mécanique répartie (VMR) : facilité de pose et grande efficacité, mais non autorisée pour les nouvelles habitations.
• VMI
• Puits canadien">Puits cana">Ventilation mécanique insufflée (VMI) : filtre et préchauffe l'air entrant.
• Puits canadien.

Principe du puits canadien

Un puits canadien est un procédé géothermique qui met à profit l'inertie du sol pour réchauffer ou refroidir l'air ambiant d'un bâtiment et lui offrir une ventilation naturelle. En effet, le sol a une température quasi constante quelle que soit la saison : entre 10 et 15°C environ.
Le puits canadien fonctionne alors comme suit :

• L'air est puisé à l'extérieur grâce à une borne de prise d'air.
• Cet air va ensuite circuler dans un réseau de conduits enterrés à 1,5 m de profondeur environ.
• L'air se réchauffe ou se rafraîchit selon la saison par échange thermique.
• L'air est ensuite rejeté dans votre logement grâce à des conduits intérieurs reliés à des bouches d'aération.
• Des bouches d'extraction permettent de rejeter l'air vicié à l'extérieur.

L'air de votre logement est ainsi constamment renouvelé !

Note : les aérateurs des fenêtres doivent être obstrués pour ne pas introduire un air trop froid ou trop chaud dans votre intérieur ce qui diminuerait l'efficacité de votre puits canadien.

Avantages du puits canadien

Le puits canadien est un système de ventilation très avantageux :

• L'air ambiant est constamment renouvelé.
• Un filtre garantit un air sain.
• Vous économisez en chauffage et en climatisation : jusqu'à 20 % d'économies.
• Sa consommation électrique est faible.
• Son installation est facile lors d'une construction.

Inconvénients du puits canadien

Le puits canadien atteint ses limites à la mi-saison :

• À cette période l'air extérieur est d'une température confortable.
• L'air extrait par le puits canadien est généralement trop froid.
• Le puits est donc arrêté pour éviter de trop refroidir la maison.

Conseil : les aérateurs de vos fenêtres doivent alors être libérer afin de permettre une ventilation naturelle du logement.

De plus, l'installation d'un puits canadien lors d'une rénovation s'avère plus complexe et plus coûteuse que lors de la construction d'une habitation.

Puits canadien couplé avec une VMC

Un puits canadien peut être couplé avec une VMC :

• Couplé avec une VMC simple flux :
  • L'air insufflé par la VMC ne vient plus directement de l'extérieur, il est préchauffé ou rafraîchit par le puits canadien.
  • Vous économisez donc de l'énergie.
• Couplé avec une VMC double flux :
  • L'air puisé par la VMC est préchauffé ou rafraîchit par le puits canadien.
  • La VMC réchauffe une nouvelle fois l'air puisé dans le puits ce qui engendre une économie supérieure d'énergie.
  • En été, si l'air de la maison est plus frais que l'extérieur, la VMC rafraîchit un peu plus l'air qu'elle va insuffler das la maison : là encore, vous économisez de l'énergie en climatisant moins.

Prix d'un puits canadien

Comptez au minimum 2 000 € et jusqu'à 8 000 €pour un puits canadien, sans compter les travaux de terrassement, selon ses caractéristiques.
Ce prix ne comprend pas non plus l'étude thermique préalable à toute installation de puits. Cette étude est essentielle pour dimensionner correctement votre installation en fonction de vos besoins et de votre environnement.

Attention : prenez garde aux prix trop bas qui peuvent laisser présager une qualité des matériaux et de l'installation médiocre. Or, celle-ci est essentielle pour la qualité de l'air insufflé dans votre maison et la pérennité de votre système !

Chiffres et statistiques les résultats de la construction des logements en 2011

Le commissariat général au Développement durable (CGDD) publie dans la dernière livraison de sa lettre Chiffres et statistiques les résultats de la construction des logements en 2011.

Près de 535.000 autorisations de construction de logements, dont 466 000 constructions neuves et 69 000 constructions sur bâtiment existant ont été enregistrées au 31 décembre 2011. Soit une hausse de 17,9% par rapport à 2009. Ce sont les logements collectifs qui se taillent la part du lion, avec 247 648 logements autorisés (+37,3% en 2011). Suivent les logements individuels purs (173 407 logements et +3,6%) et les logements individuels groupés (80.115 logements et +9,7%). S'y ajoutent 33 634 logements en résidences (+2,8%).

Quant aux mises en chantier, elles progressent de 21,8% en 2011 avec 421 306 logements. On constate une nette prédominance du collectif, avec 192 741 logements mis en chantier (+33,9%), devant la maison individuelle pure (145 213 logements et +13,8%).

L'année 2012 s'annonce toutefois moins favorable en matière de logement, certains experts tablant sur un recul de 10% des mises en chantier, à cause de la dégradation de la conjoncture, des inquiétudes des ménages sur l'avenir, de la crise de l'Union européenne et de l'euro, de l'impact de la suppression du Scellier et du durcissement du PTZ+ et de l'attentisme propre à une année électorale.

Le Bilan Bioclimatique du Bâtiment ou « BBio »

Le BBio (Bilan Bioclimatique du Bâtiment), exprimé en points, permet de déterminer le bon niveau de conception bioclimatique du bâtiment et les besoins de chauffage, climatisation et éclairage. En neutralisant les systèmes, en intégrant la bonne isolation thermique et l’étanchéité de l’enveloppe, l’inertie de la structure, le rôle essentiel des baies vitrées, des espaces solarisés pour les apports d’énergie solaire et de lumière naturelle, le BBio conforte et valide les choix réalisés par la maîtrise d’oeuvre.
Le calcul du BBio conduit à déterminer les 3 besoins de chauffage, climatisation et éclairage.
Les 2 premiers postes sont multipliés par 2 et l’éclairage par 5 pour obtenir le niveau Bbio en points.

Le modèle RC, avec une seule Capacité et 5 Résistances permet de simuler au pas horaire l’évolution des températures de l’air, des parois et de la masse du bâtiment. En fonction des déperditions et des apports, le niveau de température opérative est régulé par l’émission chaud/froid de l’émetteur (convection et rayonnement).


Le BBio obtenu doit être inférieur à un niveau BBio Max modulé en fonction de différents paramètres dont la zone climatique H, l’altitude, la taille et le type de programme, les catégories de bâtiment CE1/CE2 (avec ou sans recours au rafraîchissement).

BBio Max : attention valeurs provisoires et non validées, en attente de publication.

Le BBio Max en catégorie CE1 (sans besoin de climatisation) :

BBio Max = 60 x (Mc-géo + Mc-alt + Mc-taille)

Mc-géo : modulation géographique en fonction zone H de 0,7 à 1,4

Mc-alt : modulation d’altitude de 0 à 0,4

Mc-taille : modulation de taille en fonction de la surface SHORT moyenne de + 0,6 à - 0,25

En catégorie CE2 la valeur de 60 est égale à 80